Delphine de Vigan rekonstruiert detailliert das Leben ihrer Mutter, der hübschen Lucile, geboren 1946 als drittes von neun Kindern. Ihre hartnäckigen Nachforschungen ins Innerste des familiären Gedächtnisses lassen sowohl schöne Erinnerungen bei den Befragten wach werden, aber auch die verdrängten Verletzungen und Geheimnisse.
Ma famille incarne ce que la joie a de plus bruyant, de plus spectaculaire, l'écho inlassable des morts, et le retentissement du désastre. Aujourd'hui je sais aussi qu'elle illustre, comme tant d'autres familles, le pouvoir de destruction du verbe, et celui du silence. D. de V.Il fallait oser pour s'attaquer à un sujet déjà investi par les plus grands écrivains: le livre de ma mère. Et, pourtant, D. de Vigan a apporté sa touche originale, en plus de son talent à maîtriser un récit. [...] Ce roman intrigue, hypnotise, bouleverse. Il interroge aussi. Mohammed Aïssaoui, Le Figaro littéraire.Malédiction familiale en mème temps que questionnement passionnant sur les rapports entre l'écriture et la vie, [un] livre éblouissant. Olivia de Lamberterie, Elle.Prix du roman Fnac 2011 - Prix Renaudot des lycéens 2011 - Prix roman France Télévisions 2011 - Grand prix des lectrices de Elle 2012