Nous avons estimé un mécanisme de vol battu de la bernache du Canada à l'aide d'un modèle de bras à deux articulations en performance aérodynamique instable afin d'examiner la quantité d'énergie qui peut être économisée lors de la migration. À partir des distributions de vitesse et de pression sur l'aile, nous avons déterminé qu'une bernache peut économiser environ 15 % de son énergie en réduisant la traînée grâce à une modification de la morphologie de l'aile. À partir du champ d'écoulement de l'air dans le sillage, nous avons déterminé qu'une oie peut économiser environ 16 % de son énergie en profitant de la puissance induite causée par une paire de tourbillons d'avantage de battement (FAV) tridimensionnels en forme de V. Nous avons déduit quantitativement que les tourbillons d'avantage de battement (FAV) étaient plus efficaces que les tourbillons d'avantage de battement. Nous avons déduit quantitativement que la profondeur optimale se situait à environ 4 m de l'extrémité de l'aile d'une oie en avant et que le WTS optimal se situait entre 0 et -0, 40 m dans la section de l'envergure. La différence de phase de battement entre l'oie qui précède et celle qui suit a également été estimée à environ 90, 7° afin d'utiliser efficacement l'avantage aérodynamique causé par la FAV.