« En te regardant, l autre jour,
te dé tendre tranquillement dans un fauteuil bas.
Une jambe replié e né gligemment sous l autre.
Et ces longs cheveux noirs, tombant libres pour une fois ;
j ai pensé à quel point tu es belle.
Ton calme gracieux brisé
par les mouvements expressifs de tes longs sourcils noirs
et la lueur, dans ces yeux marron,
comme ils se remplissent de rire.
Autour de vous, l air scintille.
Alors quand tu es partie
la magie a opé ré aussi.
Et j ai tremblé au changement soudain
alors que la vie redevenait un dé sert vide. »